IO AVRIL 1897.- OCT. 1978 Liners Lasce possibe TAYLORS FALLS (Minnesota) Amérique. Le Chiango Chronicle du II AVRIL 1897, fait paraître l'article suivant : "Le célèbre dirigeable a été trouvé non loin d'ici. Ayant reçu des informations de Minneapolis, notre oor- respondant se rendit immédiatement dans les forêts épais- ses an SUD de la ville. Il y pénétra avec beaucoup de prudence, s'avançant lentement jusqu'à une grande olai- rière au milieu de laquelle reposait un objet immense et curiousoment façonné, ressemblant plutôt à une baleine. D'abord, le journaliste orut qu'il s'agissait bien d'un animal aux proportions inquiétantes, mais un examen rapide lui révèla que cet objet était fait de métal et de bois. Souddin, une porte s'ouvrit et deux hommes mor- tirent. Ils lisaient des quotidiens, riant de la surprise et de l'inquiétude que leur dirigeable avait onusdéos Notre correspondant poursuit : "A ce moment je me suis précipité vers eux. M'apercevant, ils vinrent vers moi comme des bêtes sauvages, mais je sortis um révolver, les monaçant de ditor s'ils ne livraient par leur neoret. L'un d'eux se présenta comme étant J.S. Mao MASTERS de Chicago en admettant qu'il était l'inventeur de l'appa- reil qui avait tant exoité le peupbe ces derniers temps, "Il reste encore quelques détails à mettre au point, dit- il, avant de révèler votre découverte au grand jour. Nous ne révèlerons jamais le seoret, mais nous installorong bientôt des lignes régulières aveo oe navire aérien dans les principaux points du monde. Chaque voyage sert en fait à corriger quelque défaut. Tout ce que je peux vous dire ajouto-t-il, c'est que le principe sur lequel repose notre invention est celui de la gravité négative, que l'on peut opposer à celle positive, qui nous est bien familière. " Comme je lui posais enoore d'autres questions, les roues de cet objet se miront à tourner, des grandes ailes se déploy- èrent et une quelconque foroe mystérieuse rappela les deux hommes vers la nacelle située en bas de l'angin. Devant mes youx, cet objet s'élova du sol et déoolla en direction de Ste Croix ". Notre correspondant nous apprit également qu'il y a beaucoup de fermiers qui ont vu le mystérieux objet volant qui viennent en ville pour en parler. L'opinion qui prévaut chez eux est que cette chose est wie création du Diable. Quand 11 lour raconta son aventure, notre correspondant fut traité de fou et pris à partie. Il nous envoya son article de la prison où on l'a enfermé. Il jure pourtant ses grands dioux qu'il est aussi sain d'esprit que n'importe qui et qu'il n'a pas inventé une mystification, pas plus d'ailleurs que les reporters de SIOUX CITY et d'OHAHA ne l'ont fait." EXTRAIT DU LIVRE DE MICHEL BOUGARD (Delarge) "LA CHRONIQUE DES OVNI " P. 164. 165