IO AOUT 1809.- HATTON GARDEN - 00000000000000 OCT, 1978 LONDRES.-(Angleterre) шлар 1 00050000 "LE JOURNAL OF NATURAL HISTORY AND PHILOSOPHY AND CHEMIS- TRY "rapporte ainsi l'observation de Sir John STAVELEY. "Je vis de nombre météores prés du coin d'un muage noir duquel des lumièr sortaient. C'étaient comme des taches de lunières éblouissante dansant et passant à travers les nuage. L'une d'elles augmenta de dimension jusqu'à ce qu'elle atteignit la brillance et la grandeur de Vénus lors d'une soirée olaire. Mais je ne pouvais voir aucun corps dans la lumière. Cela se déplaça avec une grande rapidité et cotoyait le coin du muage. Alors cela devint stationnaire, perdit de son éclat et disparut. Je vis ces étranges lumières pendant des minutes, non des secondes. Pendant presque une heure, oes lueurs, aussi étrange que ce fut, et en dinnombrablosyp-points, sortaient et rentrai- ent dans ce nuage sombre. Aucune lumière ne venait des muages là où bos os lueurs" s'amusaient ". Au momont où les météores augmentaient de dimensions on aurait dit qu'ils descendaient vers le sol." EXTRAIT DU LIVRE DE MICHEL BOUGARD (Delarge)" LA CHRONIQUE DES OVNI" P. 125.